Sa passion, elle, remonte à bien plus loin. Cela fait des années qu’il « fait sa popotte » dans sa cuisine. Son activité principale, architecte en libéral, lui permet de s’organiser comme il veut, et de consacrer du temps à sa brasserie.

Au quotidien, le plus difficile pour Jérémie est la gestion de ses stocks et de la forte saisonnalité de ses ventes, dans cette région touristique. 

Parfois aussi, le houblon est difficile à trouver. Mais en ce moment c’est surtout la hausse des coûts des matières qui ne facilite pas les choses. 

Son partenariat avec « Ma Bouteille s’appelle reviens » l’aide cependant à plafonner la hausse des prix des bouteilles, les bouteilles re-employables étant un peu moins impactées par l’envolée des prix du verre.

Ses satisfactions ? « M’amuser de ce que je fais », et bien sûr les retours des clients qui l’encouragent, le récompensent ou parfois font évoluer les processus de fabrication de la brasserie.